Le 11 février célèbre la Journée internationale des femmes et des filles de science, et chez TOHA, nous souhaitons mettre en lumière celles qui repoussent les frontières de notre profession. Découvrez les parcours et inspirations de Marianne, Alexandra, et Marie-Charlotte, trois kinés et chercheuses passionnées.
Afin de mieux les connaître, elles se sont prêtées aux jeux des 4 questions.
Découvrez leurs réponses !
1️⃣ Qui vous a inspiré à vous lancer dans la recherche ?
💡 Marianne :
« Ayant grandi en Suède, j’ai toujours été fascinée par les lauréats du prix Nobel.
La valorisation de la recherche y est très forte, et cela a éveillé en moi une admiration pour ce monde d’innovation. »
💡 Marie-Charlotte :
« La rencontre de Marianne, Joévin, Martin et Alexandra lors de mon Master 2 a tout changé.
Ils partageaient ma soif de tout comprendre dans les moindres détails, quitte à y consacrer des heures.
Leur dévouement, leur courage et leur passion pour offrir à nos patients les meilleurs traitements m’ont impressionnée.
Ensemble, on est devenu un boys band surnommé les KPB, partageant cette passion sans fin qui fait que même parler ‘boulot’ reste un plaisir. »
💡 Alexandra :
« Étant étudiante, j’ai toujours voulu participer à la recherche en kinésithérapie.
Et c’est en commençant des formations après le diplôme et notamment en rencontrant Angela Cadogan et en prenant connaissance de ses travaux que je me suis lancée. »
2️⃣ Quelle réalisation dans votre carrière vous rend la plus fière ?
🌟 Marianne :
« Je suis encore au début de ma carrière, mais je suis fière de réussir à combiner pratique et recherche depuis maintenant 4 ans. »
🌟 Marie-Charlotte :
« La mise en place d’un parcours pluridisciplinaire pour les jeunes enfants souffrant d’obésité.
Ce projet allie recherche en amont, mise en œuvre concrète sur le terrain, interactions avec les patients, collecte de données et analyses.
Une expérience complète qui enrichit tous mes projets futurs. »
🌟 Alexandra :
« Ma première participation à une conférence devant plus de 1000 personnes pour parler de mon sujet de prédilection : les douleurs d’épaule d’origine cervicale. »
3️⃣ Quel conseil donneriez-vous aux jeunes filles qui rêvent de se lancer dans la science ?
💬 Marianne :
« Ne doutez jamais de vos capacités, osez sortir de votre zone de confort, et investissez-vous pleinement dans ce que vous faites. Tout est possible 😉. »
💬 Marie-Charlotte :
« Croyez en vos rêves, restez curieuses et développez votre esprit critique ! Les femmes sont moins visibles en recherche, mais ne perdez pas d’énergie à vous indigner.
Avancez, publiez, et faites entendre votre voix à travers vos travaux. »
💬 Alexandra :
« Qu’il ne faut pas hésiter par peur de se confronter à un monde compétitif.
Il faut prendre le temps de s’entourer des bonnes personnes qui vous feront grandir et vous épanouir dans une carrière plus qu’enrichissante. »
4️⃣ En une phrase, comment définiriez-vous votre parcours et votre centre d’intérêt ?
🎓 Marianne :
« Kinésithérapeute, diplômée d’un DIU en anglais médical et d’un Master en ingénierie de la santé, je poursuis actuellement un doctorat.
Mon centre d’intérêt : allier cognition et mouvement 📚. »
🎓 Marie-Charlotte :
« Je suis kiné avec 4 diplômes universitaires, spécialisée en pathologies cardio-respiratoires et prise en charge de l’obésité.
Mon centre d’intérêt actuel : TOHA, qui m’enthousiasme chaque jour. »
🎓 Alexandra :
« Mon parcours est structuré et centré sur la kinésithérapie, avec une spécialisation en musculo-squelettique développée à travers plusieurs formations et un master principalement axé sur la recherche, tout en restant orienté musculo-squelettique.
Je m’oriente actuellement vers une thèse sur les douleurs d’épaule d’origine cervicale, un sujet qui me tient particulièrement à cœur après avoir constaté, dans ma pratique, l’errance médicale fréquente due au manque de connaissances et de communication sur ce type de douleurs. »
TOHA et les femmes de science : Une vision pour l’avenir.
Chez TOHA, ces femmes incarnent l’innovation et la passion qui nous poussent à dépasser nos limites.
Grâce à leurs recherches et leur engagement, elles contribuent à transformer la kinésithérapie pour le bien de tous.